À la suite de la diffusion du rapport Commission de vérité et réconciliation du Canada : Appels à l’action, en 2015, le rituel de reconnaissance des terres a été relancé afin de reconnaître la ou les nations autochtones qui occupent le territoire sur lequel se tient une réunion ou une rencontre.
La reconnaissance des terres constitue un premier pas dans le processus de réconciliation. Elle rend hommage à la présence autochtone sur ces terres depuis plus de 10 000 ans. Elle est l’occasion de témoigner de la reconnaissance à l’égard des terres autochtones, des traités et des peuples ainsi que de réfléchir au passé et aux changements qui doivent être faits pour favoriser la réconciliation.
Déclaration d’Portage Énergie sur la reconnaissance du territoire
Le peuple Algonquin Anishinabeg est la nation autochtone dont le territoire est aujourd’hui connu sous le nom de région de la capitale nationale (Ottawa-Gatineau).
Portage Énergie reconnaît les peuples autochtones ainsi que leurs territoires sur lesquels nous travaillons et vivons. Nous reconnaissons les territoires ancestraux non cédés des peuples des Premières Nations, des Inuits et des Métis, qui se considèrent natifs de l’Île de la Tortue. Nous reconnaissons que cette terre est partagée par des traités historiques, développée dans le cadre de traités contemporains et qu’elle continue d’être un territoire non cédé.
Portage Énergie rend hommage à toutes les Premières Nations et à tous les Inuits et Métis ainsi qu’à leur précieux passé et à leurs contributions actuelles à cette terre.
Le premier rapport d’Hydro Ottawa, rédigé en vertu de la Loi sur la lutte contre le travail forcé et le travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement, décrit nos efforts pour combattre le recours au travail forcé et au travail des enfants dans nos activités et nos chaînes d’approvisionnement au cours de l’année 2023. Par le fait même, ce rapport souligne notre engagement à l’égard des pratiques éthiques et de la transparence.